Les filles, sérieusement... dites-moi si vous avez le même dilemne!
J'aime beaucoup les gars doux, attentionnés, fidèles, honnêtes et enjoués, ambitieux et adaptifs. Ca existe, j'en connais. Mais des fois... juste des fois... ils sont PLATES !
Je trouve ca dommage parce qu'ils ne méritent pas ce dernier qualificatif.
qui sont pessimistes.
Il y a les intellos, les players, les bad boys, les pessimistes / les optimistes éternels (aussi pires les uns que les autres), les édpressifs, les enjoués (énergétiques, mais durs à suivre), les artistes (qu'ils sont tentants!), etc. Il y a ceux qui m'attirent seulement physiquement, mais dont l'intellect laisse fort à désirer.
De tous ces types, je préfère de loin le premier. Malheureusement, ceux qui pourraient rentrer dans cette catégorie ont souvent une allure à la mesure des qualificatifs que je leur ai attribués ci-dessus : normale. Ils n'ont rien de spécial. Comment trouver la perle rare ? Celle qui a une apparence normal, mais qui sait allumer le feu sous mon siège.
mercredi, novembre 29, 2006
mardi, novembre 28, 2006
Expérience désagréable
Tout récemment, comme je l'ai mentionné dans le message précédent, la réalité m'a explosé au visage.
J'avais décidé de passer outre certaines caractéristiques physique d'un certain jeune homme qui, autrement, rentrait de manière spectaculaire dans mes caractéristiques appréciées chez un partenaire potentiel.
Bref, une seconde chance lui fût accordée, parce que je m'étais trouvée réellement CONNE d'avoir pensé passer par-dessus cette occasion à cause de petits détails physiques.
Après avoir passé par-dessus mon orgueil et ma fierté de femme moderne, qui n'ont pas petite taille, sachez-le, j'ai poursuivi un but particulier : celui de trouver un partenairte acceptable.
Quelle fut donc ma surprise lorsque la graine de l'espoir fut piétinée dans ma figure il y a à pein quelques jours.
Pour la première fois de ma vie, un homme m'a repoussé. Je vous comprends maintenant, mesdames les aventurières. Celles qui prennent les devants au risque de se faire refuser l'accès. C'est un sentiment très particulier qui varie de la stupéfaction à l'engourdissement total des sens. Engourdissement qui, je tiens a le préciser, ne sers en rien mon retour à la "réalité".
Pour ceux qui ne comprennent toujours pas de quoi il est question, je me suis fait dire par le garçon en question qu'il avait du travail a faire sur lui-même avant de pouvoir s'engager dans une relation sérieuse.
D'un côté, soyons réalistes, je n,ai pas deux cents ans à vivre.
De l'autre côté... c'est un peu salaud de ne pas l'attendre... mais pourquoi attendrais-je quelqu'un qui m'a crûment reviré de bord ? Et puis d'ailleurs, je ne le connais pas tant que ca !
Une autre interrogation point donc à mon esprit. M'as-t-il techniquement et véritablement reviré de bord ? Suis-je sérieusement mise de côté ou est-ce que je prends juste mal de me faire dire non pour la première fois de ma vie.
Je vous le confie, je ne m'engage jamais dans un combat en pensant que mes chances de réussite sont minces. J'attends d'avoir une certaine assurance sur mes probabilités de succès et je fonce. C'est la même chose en ce qui concerne les hommes. Je ne m'engage pas en terrain dangereux, à moins que l'enjeu ne soit pas élevé.
Qu'en pensez-vous, internautes du monde ?
J'avais décidé de passer outre certaines caractéristiques physique d'un certain jeune homme qui, autrement, rentrait de manière spectaculaire dans mes caractéristiques appréciées chez un partenaire potentiel.
Bref, une seconde chance lui fût accordée, parce que je m'étais trouvée réellement CONNE d'avoir pensé passer par-dessus cette occasion à cause de petits détails physiques.
Après avoir passé par-dessus mon orgueil et ma fierté de femme moderne, qui n'ont pas petite taille, sachez-le, j'ai poursuivi un but particulier : celui de trouver un partenairte acceptable.
Quelle fut donc ma surprise lorsque la graine de l'espoir fut piétinée dans ma figure il y a à pein quelques jours.
Pour la première fois de ma vie, un homme m'a repoussé. Je vous comprends maintenant, mesdames les aventurières. Celles qui prennent les devants au risque de se faire refuser l'accès. C'est un sentiment très particulier qui varie de la stupéfaction à l'engourdissement total des sens. Engourdissement qui, je tiens a le préciser, ne sers en rien mon retour à la "réalité".
Pour ceux qui ne comprennent toujours pas de quoi il est question, je me suis fait dire par le garçon en question qu'il avait du travail a faire sur lui-même avant de pouvoir s'engager dans une relation sérieuse.
D'un côté, soyons réalistes, je n,ai pas deux cents ans à vivre.
De l'autre côté... c'est un peu salaud de ne pas l'attendre... mais pourquoi attendrais-je quelqu'un qui m'a crûment reviré de bord ? Et puis d'ailleurs, je ne le connais pas tant que ca !
Une autre interrogation point donc à mon esprit. M'as-t-il techniquement et véritablement reviré de bord ? Suis-je sérieusement mise de côté ou est-ce que je prends juste mal de me faire dire non pour la première fois de ma vie.
Je vous le confie, je ne m'engage jamais dans un combat en pensant que mes chances de réussite sont minces. J'attends d'avoir une certaine assurance sur mes probabilités de succès et je fonce. C'est la même chose en ce qui concerne les hommes. Je ne m'engage pas en terrain dangereux, à moins que l'enjeu ne soit pas élevé.
Qu'en pensez-vous, internautes du monde ?
Avis à tous les spécimens masculins de ce monde
Jeune femme recherche partenaire stable, responsable, confiant, capable d'exprimer ses émotions ou même d'en avoir, fidèle, fonceur, joyeux, drôle, charmant. Âgé environ de 23 à 30 ans. avec certaines exceptions. Doit être capable d'entretenir des ambitions face à sa carrière, à notre relation potentielle et à la vie en général. Doit être motivé, vaillant, persévérant, acharné ou tout autre adjectif ayant trait à ce genre de personalité. J'ai des tendances lâches... je ne peux pas être avec un homme lâche.
Autres qualificatifs à venir.
Pour certains ce genre de liste semble exigeante, pour d'autres futile, enfantile, inutile, sélective, etc.
Pour moi, c'est les choses que je n'arrive pas à trouver chez un MÊME gars.
Question d'accomplissement personnel, je suis fière de vous annoncer que je m'attarde beaucoup moins au physique depuis quelques mois. Mais mes efforts ne sont toujours pas récompensés. Je ne m'inquiète pas. Tout revient nous exploser au visage un jour ou l'autre, positif ou négatif.
Je ne suis pas superficielle, loin de là, vous pouvez me croire. Je porte tout simplement une attention particulière à l'apparence des gens. C'est inné. Je n'arrive pas à faire autrement `depuis ma naissance. Cette prédisposition m'emmene souvent à affronter des situations difficiles. Par exemple, il arrive que des garçons me plaisent énormément côté émotionnel, intellectuel, etc. mais si, par malheur, j'accroche sur un détail tout croche de leur aspect physique, c'est fini. Je n'y peux rien... Je n'arrive pas non plus à entretenir des relations d'amitié avec des gens que je trouve désagréables (d'apparence toujours).
Je crois que beaucoup de gens sont comme cela, mais n'osent pas l'avouer. Je crois que c'est une prédisposition BIOLOGIQUE qui est inscrit dans nos gènes. Qui se ressemble, s'assemble. Ça permet peut-être à l'espèce humaine d'assurer sa survie. Si les gens ne se tenaient qu'avec des gens qui leur déplaisent, les ne procréraient plus. Ce qui serait terriblement dommage :)
Par contre, je ne suis pas dénuée de volonté. Si quelqu'un me plaît VRAIMENT, je suis capable de me motiver, de projeter une image plus positive ou d'utiliser le pouvoir de la pensée afin d'oublier ce détail ennuyeux ou de voir ses qualités à la place. J'en ai la preuve, même si elle m'a explosé à la figure tout récemment. (Voir blog suivant)
Bref... en ce qui concerne ma liste du début... comme tout le monde, ce n,est qu'une idée approximative de ce que je voudrais chez mon partenaire idéal. Ce n'est pas fixe, je suis très flexible et c'est vraiment du cas-par-cas.
Autres qualificatifs à venir.
Pour certains ce genre de liste semble exigeante, pour d'autres futile, enfantile, inutile, sélective, etc.
Pour moi, c'est les choses que je n'arrive pas à trouver chez un MÊME gars.
Question d'accomplissement personnel, je suis fière de vous annoncer que je m'attarde beaucoup moins au physique depuis quelques mois. Mais mes efforts ne sont toujours pas récompensés. Je ne m'inquiète pas. Tout revient nous exploser au visage un jour ou l'autre, positif ou négatif.
Je ne suis pas superficielle, loin de là, vous pouvez me croire. Je porte tout simplement une attention particulière à l'apparence des gens. C'est inné. Je n'arrive pas à faire autrement `depuis ma naissance. Cette prédisposition m'emmene souvent à affronter des situations difficiles. Par exemple, il arrive que des garçons me plaisent énormément côté émotionnel, intellectuel, etc. mais si, par malheur, j'accroche sur un détail tout croche de leur aspect physique, c'est fini. Je n'y peux rien... Je n'arrive pas non plus à entretenir des relations d'amitié avec des gens que je trouve désagréables (d'apparence toujours).
Je crois que beaucoup de gens sont comme cela, mais n'osent pas l'avouer. Je crois que c'est une prédisposition BIOLOGIQUE qui est inscrit dans nos gènes. Qui se ressemble, s'assemble. Ça permet peut-être à l'espèce humaine d'assurer sa survie. Si les gens ne se tenaient qu'avec des gens qui leur déplaisent, les ne procréraient plus. Ce qui serait terriblement dommage :)
Par contre, je ne suis pas dénuée de volonté. Si quelqu'un me plaît VRAIMENT, je suis capable de me motiver, de projeter une image plus positive ou d'utiliser le pouvoir de la pensée afin d'oublier ce détail ennuyeux ou de voir ses qualités à la place. J'en ai la preuve, même si elle m'a explosé à la figure tout récemment. (Voir blog suivant)
Bref... en ce qui concerne ma liste du début... comme tout le monde, ce n,est qu'une idée approximative de ce que je voudrais chez mon partenaire idéal. Ce n'est pas fixe, je suis très flexible et c'est vraiment du cas-par-cas.
lundi, novembre 20, 2006
Bullshit
Est-ce qu'il vous arrive de penser "Tout le monde me voie d'une manière, mais je ne me sens pas du tout cette personne là" ?
J'ai ce genre de pensée très fréquemment, presque meme tous les jours.
Pensez-vous des fois que les gens vous croient un livre ouvert, mais qu'au fond, ils ne savent rien de vous.
Des fois les gens se contentent d'une réponse pré-machée... sans se poser de questions ou tenter d'aller plus loin.
Je trouve ca dommage, parce qu'en agissant ainsi, on perd l'occasion de connaitre VRAIMENT quelqu'un. On ne peut pas apprendre à se connaitre sans sposer des questions.
On ne peut pas avoir du succès dans la vie sans mettre la main à la pâte.
Bref, ceci est un Ode aux questions. Je crois que c'est la chose la plus fantastique au monde. Ca a tellement de vertues ! Ca peut vous renseigner, vous intéresser, vous surprendre. Poser des questions vous fait apprendre quelque chose de nouveau sur le monde qui vous entoure. Pas nécessairement les gens; ca peut être sur n'importe quoi.
Des fois, les gens me posent une question. Et se contentent de ma réponse. Sans chercher à aller plus loin que cette réponse pré-machée que l'on sert aux gens qui nous posent des questions sans vraiment s'intéresser à nous.
Mais quelle genre de réponse auraient-ils obtenus s'ils avaient été un peu PLUS loin. Ont-ils peur de la réponse, ou ne veulent-ils simplement pas la savoir.
C'est facile de vivre dans l'ignorance. C'est doux, c'est comme être emmitouflé dans un nuage de soie chaude et douce.
La réalité fait parfois mal, mais elle est parfois salvatrice.
Comment vivre sa vie sans chercher la vérité ? Comment vivre sa vie sans chercher à découvrir le monde qui nous entoure.
Les enfants sont chaque jour émerveillés devant les découvertes qu'ils font. Devant le monde et ses merveilles.
À quel âge arrêtons-nous d'être comme ca ? De vivre la vie selon nos sens, nos envies, nos besoins ?
Est-ce à l'adolescence, lorsque nous réalisons que nous ne vivrons jamais dans un conte de fée, comme la Belle au bois dormant ?
Est-ce à 30, 40 ans, lorsque nous réalisons que notre vie a passé trop vite et que nous en avons peut-être manqué la plus grande partie ?
Est-ce à 95 ans, quand nous avons besoin des autres pour survivre et pour subvenir à nos besoins ?
Ou serait-ce lorsque l'on réalise que la vie ne se vie pas toute seule. Qu'elle a besoin de nous pour s'épanouir, et nous d'elle ? Serait-ce lorsque nous réalisons qu'il y a mieux à faire que douter, s'inquiéter, se stresser, se faire du mauvais sang pour des situations qui n'arriveront peut-être jamais ! Qu'est-ce que j'vais vivre si mon chum me trompe ? Qu'est-ce que j'vais faire si je perds mon emploi, si je ne réussis pas ce cours, si je n'arrive pas à remplir ce trou au fin fond de moi ?
Pourquoi vivre dans la possibilité que... toujours à penser, à prévoir ce que l'on va faire SI !
et SI votre vie aimerait bien pouvoir se passer de "SI". Et SI vous méritez mieux que d'être réduit à l'esclavage de vos pensées négatives ?
Et SI vous commenciez vraiment à vivre, faute de quoi votre vie se passera de vous ?
J'ai ce genre de pensée très fréquemment, presque meme tous les jours.
Pensez-vous des fois que les gens vous croient un livre ouvert, mais qu'au fond, ils ne savent rien de vous.
Des fois les gens se contentent d'une réponse pré-machée... sans se poser de questions ou tenter d'aller plus loin.
Je trouve ca dommage, parce qu'en agissant ainsi, on perd l'occasion de connaitre VRAIMENT quelqu'un. On ne peut pas apprendre à se connaitre sans sposer des questions.
On ne peut pas avoir du succès dans la vie sans mettre la main à la pâte.
Bref, ceci est un Ode aux questions. Je crois que c'est la chose la plus fantastique au monde. Ca a tellement de vertues ! Ca peut vous renseigner, vous intéresser, vous surprendre. Poser des questions vous fait apprendre quelque chose de nouveau sur le monde qui vous entoure. Pas nécessairement les gens; ca peut être sur n'importe quoi.
Des fois, les gens me posent une question. Et se contentent de ma réponse. Sans chercher à aller plus loin que cette réponse pré-machée que l'on sert aux gens qui nous posent des questions sans vraiment s'intéresser à nous.
Mais quelle genre de réponse auraient-ils obtenus s'ils avaient été un peu PLUS loin. Ont-ils peur de la réponse, ou ne veulent-ils simplement pas la savoir.
C'est facile de vivre dans l'ignorance. C'est doux, c'est comme être emmitouflé dans un nuage de soie chaude et douce.
La réalité fait parfois mal, mais elle est parfois salvatrice.
Comment vivre sa vie sans chercher la vérité ? Comment vivre sa vie sans chercher à découvrir le monde qui nous entoure.
Les enfants sont chaque jour émerveillés devant les découvertes qu'ils font. Devant le monde et ses merveilles.
À quel âge arrêtons-nous d'être comme ca ? De vivre la vie selon nos sens, nos envies, nos besoins ?
Est-ce à l'adolescence, lorsque nous réalisons que nous ne vivrons jamais dans un conte de fée, comme la Belle au bois dormant ?
Est-ce à 30, 40 ans, lorsque nous réalisons que notre vie a passé trop vite et que nous en avons peut-être manqué la plus grande partie ?
Est-ce à 95 ans, quand nous avons besoin des autres pour survivre et pour subvenir à nos besoins ?
Ou serait-ce lorsque l'on réalise que la vie ne se vie pas toute seule. Qu'elle a besoin de nous pour s'épanouir, et nous d'elle ? Serait-ce lorsque nous réalisons qu'il y a mieux à faire que douter, s'inquiéter, se stresser, se faire du mauvais sang pour des situations qui n'arriveront peut-être jamais ! Qu'est-ce que j'vais vivre si mon chum me trompe ? Qu'est-ce que j'vais faire si je perds mon emploi, si je ne réussis pas ce cours, si je n'arrive pas à remplir ce trou au fin fond de moi ?
Pourquoi vivre dans la possibilité que... toujours à penser, à prévoir ce que l'on va faire SI !
et SI votre vie aimerait bien pouvoir se passer de "SI". Et SI vous méritez mieux que d'être réduit à l'esclavage de vos pensées négatives ?
Et SI vous commenciez vraiment à vivre, faute de quoi votre vie se passera de vous ?
jeudi, novembre 02, 2006
| The Liberated Lover 59% partner focus, 71% aggressiveness, 70% adventurousness | You prefer your romance and love to be wild and daring rather than typical or boring, you would rather pursue than be pursued and, when it comes to physical love, your satisfaction comes more from providing a wonderful time to your partner than simply seeking your own. This places you in the Lover Style of: The Liberated Lover. The Liberated Lover is a wonderful Lover Style, and forms the kind of free-thinking, sexually-exciting, self-confident lover that society once condemned but that a liberal-mind cherishes and exults. The Liberated Lover is a treasure to find, though it can sometimes be difficult to do so because they are often already engaged in relationships or are in high-demand if "in the market." In terms of physical love, the Liberated Lover is possibly the most thrilling and demanding of all, with the one potential drawback being that it is possible to feel 'overmatched' at times by their prowess and selfless giving. Given trust and understanding, and the right lover, the Liberated Lover can be a delight in bed. Best Compatibility can probably be found with: The Exotic Lover (most of all) or the Carnal Lover, or the Suave Lover. |
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